J.Blake

Grand monsieur de la musique électronique, James Blake, et son univers de neurasthénique. 

J'y aime particulièrement l'usage du voicecoder, jamais de trop et pourtant présent tout du long, en comparaison de son abus et viol de ces dernières années à travers tout les sons-de-la-radio qui avait eu tendance à me le rendre vraiment insupportable -espérons que Timbaland parviendra un jour à trouver le bouton off du sien, mais cela ne m'étonnerait guère qu'il soit installé dans le micro même, bref.

Deux albums pour contempler les gouttes d'humidité couler le long de la fenêtre, un week-end de novembre, lorsque l'entière atmosphère extérieure toute empreinte d'un bleu outremer allant vers le noir vous rappelle qu'il est déjà cinq heures du soir, ainsi l'allumage des réverbères n'ayant pas plus de pouvoir réconfortant que l'énième joints s'apprêtant à être rouler. Moi j'aime bien! 

Rza aussi apparemment, il apparait sur une chanson du second album, Overgrown. 
      

Lindisfarne II by James Blake on Grooveshark

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